Ladies and gentlemen… Enfin presque. La compagnie qui nous emmène aujourd’hui sur Rome est VUELING. Il y a 2 semaines, je ne connaissais pas encore. En résumé, il s’agit de la marque bas couts d’Iberia. Du coup… les annonces se font en espagnol.
Nous avons pris place à bord d’un Airbus A320, très récent (tout est nickel à bord). Comme d’habitude il fait beau au dessus des nuages et nous traversons quelques petites turbulences (j’aime toujours pas).
Question que je me pose depuis que nous sommes montés à bord : existe-t-il une relation entre la température à bord et le fait que la compagnie soit espagnole ? J’ai tout tombé (à part le t-shirt) et même là c’est encore à peine supportable. Ceci dit on pourrait imaginer un lien entre les boissons payantes et… Mais bon, quel esprit retors pourrait penser à ça ?
Passons la tête par le hublot… Enfin c’est une image, je ne vais pas vraiment le faire. Après tout, à cette altitude il fait froid, voire très froid et je suis sûr que les autres passagers ne seraient pas content des courants d’air. Et bien… disons le franchement : le temps est pourri… Enfin en dessous. Perché là où je suis je ne vois qu’une grande étendue cotonneuse toute blanche. Il y a même une brume d’altitude. Donc c’est très lumineux et je me dis que je suis idiot d’avoir oublié mes lunettes de soleil.
Que vous racontez d’autre ?
Simplement qu’il est 12h11, nous avons quitter notre satellite à l’heure soit 11h35, ce qui devrait nous donner une arrivée vers 12h30. Le capitaine a peut être confirmé l’horaire mais moi et l’espagnol… j’avais pris Anglais, Allemand et Latin au lycée. Donc à part, Buenos Dias El Señor Zorro… You catch my drift.
C’est toujours tout bleu au dessus et tout blanc en dessous.
C’est marrant les gens achètent des boissons…
Sur ce… À tout à l’heure les amis !
Update : 12h48 : nous tangentons la méditerranée. On aperçoit les plages en dessous…
Je dois m’améliorer en espagnol… J’ai entendu un truc comme “trenté minutas”… On dirait que nous sommes à l’heure. ;) je vais essayé de mémoriser le paysage dehors pour aller le localiser une fois que j’aurais trouvé une connexion au net. Ça y est… On descend. Les moteurs ont réduit de régime, et l’avion est clairement en train d’amorcer sa descente.
Rome ! Here we comes !